Les écosystèmes côtiers des pays du Sud-Ouest de l’océan Indien sont tout aussi remarquables que vulnérables. Dans la plupart des pays membres de la Commission de l’océan Indien (COI), les populations dépendent de ces écosystèmes et subissent de plein fouet les effets de plus en plus intenses du changement climatique. La préservation et la restauration des services rendus par ces écosystèmes peuvent contribuer à améliorer la résilience des populations en zones côtières.
La COI, à travers son projet « Résilience des zones côtières du Sud-Ouest de l’océan Indien » (RECOS), a lancé un appel à projets régional le 4 octobre 2023 avec pour objectif de renforcer la résilience des populations et des écosystèmes du Sud-Ouest de l’océan Indien.
À l’issue de la première phase de sélection, 17 notes conceptuelles ont été présélectionnées. L’ensemble des porteurs de projets ont été notifiés par mail de leur sélection ou de leur non-sélection. Cette deuxième phase du processus concerne uniquement les porteurs de projets sélectionnés qui sont maintenant invités à développer une demande complète avant le 26 mars 2024.
DOCUMENTS À TÉLÉCHARGER
QUESTIONS POSÉES EN DEUXIÈME PHASE
Vous pouvez envoyer nous transmettre les documents originaux en malgache et la traduction française s’il vous plait.
Conformément aux lignes directrices (voir en P.18), vous pouvez faire des ajustements par rapport à la note succincte, dans la limite de 20% entre composantes.
a note obtenue suite à l’évaluation de votre projet place votre note succincte dans la deuxième partie de cette liste de présélection. Votre demande complète ne sera donc évaluée que si d’autres projets mieux notés se désistent ou ne remplissent pas les conditions requises.
Il vaut mieux les noter comme bénéficiaires. Les partenaires sont des organisations responsables de la mise en œuvre d’une ou plusieurs composantes du projet et de fait auront la gestion d’une partie de la subvention.
Le mieux pour ne pas être limités par le poids des annexes serait de faire un dossier WeTransfer.
C’est indiqué en commentaire dans le formulaire de demande complète (p. 12)
Non, pas sur la demande complète.
QUESTIONS POSÉES EN PREMIÈRE PHASE
Non, il faut être une personne morale, ET candidater au titre d’une organisation non étatique, ou d’une organisation de la société civile, ou d’une institution de recherche.
– si les financements ces financements concernent d’autres projets / autres sites : OUI
– si c’est sur le même projet: OUI, mais ne peuvent pas apparaître comme cofinancement.
– s’il s’agit d’autres financements sur le projet RECOS (comme les projets pilotes) : NON
Non, mais les documents d’appuis (cf support de présentation de la session d’information du 13 octobre) et le formulaires sont traduits en anglais.
Oui, par mail (recos@coi-ioc.org) jusqu’au 20 novembre. On a jusqu’au 27 novembre pour y répondre. Les questions seront publiées sur la page web de la COI: « Questions fréquentes »
L’évaluation des notes succinctes se fera au niveau de la COI. L’évaluation des demandes complètes se fera par un jury constitué pour l’occasion, qui fera intervenir des experts du volet scientifique en fonction des thématiques abordées.
Mathématiquement, entre 7 et 14 projets.
Quelle est la latitude de modification entre la note succincte et le formulaire complet de demande ?
Oui, les co financements sont encouragés.
Non, les particularités de chaque Etat membre de la COI seront prises en compte lors de l’évaluation sur ce critère de collaboration (ex : enjeux et ampleur de Madagascar, caractéristiques insulaires des Etats…).
Oui, l’action peut être en renforcement de la GIZC locale, et donc les actions se dérouler localement. Il faudra néanmoins démontrer pour la pertinence du projet que cette proposition répond à un plan ou une stratégie nationale.
Non, le secteur privé est éligible aux mêmes conditions que les autres institutions.
Oui c’est possible, du moment que les actions sur des sites différents répondent aux mêmes objectifs. C’est même une dimension intéressante au regard des critères.
Pour répondre au Lot 2, il est plus légitime que ce soit une institution de recherche qui porte le projet. Mais cette institution de recherche peut être privée.
Cela signifie que le demandeur devra pouvoir montrer qu’il a géré, au cours des trois dernières années, des projets/initiatives sur des thématiques similaires à celles de RECOS et engageant des montants de même ampleur que la subvention demandée.
Oui, voir les critères d’éligibilité des coûts dans les lignes directrices.
Les coûts indirects ne devront pas dépasser 10% du montant total de la subvention.
Oui, les codemandeurs peuvent être basés hors pays COI. La pertinence de cette collaboration sera à justifier, et peut se faire sur la base d’un besoin en expertise spécifique.
Oui, un demandeur peut être codemandeur sur d’autres projets.
Il vaut mieux candidater ensemble pour un projet focalisant sur un lot : chaque projet présentera de toutes façons des composantes économiques et sociales en plus d’actions à objectif environnemental. S’il est prévu une composante R&D, autant candidater pour le lot 2.
Cela peut être par exemple la mise à disposition de locaux, de bureaux, d’hébergement. Ou la mise à disposition de véhicules, bateaux/voitures.
Un demandeur peut soumettre jusqu’à 4 notes succinctes. Mais au final il ne pourra porter qu’un seul projet.
Oui, tous les supports de la session en ligne sont sur le site web : Appel à projets sur la conservation écosystèmes côtiers (commissionoceanindien.org)
Non, les co demandeurs peuvent être basés dans des pays hors COI. La collaboration régionale concerne les pays de la région océan Indien occidental, soit les pays de la Convention de Nairobi.