Cette participation lui a permis de confirmer l’engagement constant de la COI dans la lutte contre le VIH-SIDA, comme en témoigne l’accord de partenariat avec le Programme commun des Nations unies sur le VIH-SIDA (ONUSIDA) signé en 2015.
« Il s’agit d’accélérer la prévention du VIH chez les populations clés et chez les populations vulnérables, d’accompagner le changement des comportements à risques, de combattre les stigmatisations en promouvant le respect des droits humains et bien sûr d’assurer un accès facilité aux traitements », a déclaré Hamada Madi.
La Commission de l’océan Indien a la capacité d’effectuer un plaidoyer auprès des Etats ; l’objectif étant de trouver les moyens pour mettre en œuvre la stratégie régionale qui vise le renforcement des politiques publiques nationales.
« Je suis convaincu que l’Indianocéanie peut être l’une des premières régions du monde à mettre fin à l’épidémie avec le soutien des partenaires nationaux et internationaux. C’est une responsabilité commune. C’est surtout un objectif réaliste », a-t-il conclu.